PSYcause(s) 2

 « Elle » est toujours psy.

Toujours très professionnelle...

Mais au bord de la crise existentielle! 

Et plus elle astique l'inconscient de ses patientes, plus le sien crie au secours !

 

Après PSYcause(s) joué plus de 500 fois, PSYcause(s) 2 nous invite avec humour, élégance et générosité à une nouvelle plongée dans les profondeurs de l'inconscient.

 

Attention : risque d'effet miroir !

LA NOTE DE L'AUTRICE

Depuis «La Quarantaine Rugissante», je m'attache à explorer l'inconscient de la psyché féminine.

Dans « PSYcause(s) », je décrivais les angoisses de la femme aux abords de la cinquantaine.

« PSYcause(s) 2 » nous la dépeint une décennie plus tard, à un moment de vie où les grands bouleversements (retraite en vue, perte des parents, arrivée de petits enfants, etc.) font prendre conscience que le temps qui reste se restreint et qu'il est urgent de trouver «du sens »…

Se maintenir dans une posture sclérosante par sécurité ?

Accepter ? Renoncer ? Ou oser encore tout bousculer pour se donner une chance de sérénité dans la dernière ligne droite ?

 

Nous découvrons ou retrouvons « Elle ». Psy patentée. Et pourtant pas plus à l'abri du dérapage que n'importe lequel des mortels. Un être humain faillible. Tout simplement.

 

Aux prises avec son âge, ses patientes, sa mère, ses enfants, son couple, sa sexualité.

 

Le choix du «seule en scène» me permet là encore de jouer sur « l'effet miroir » : affects et paroles parallèles de la psy et de ses patientes se croisent et se répondent pour ne devenir le portrait que d'UNE SEULE ET MÊME FEMME observée à la loupe par le prisme de ses contradictions, de ses peurs, de ses doutes, de ses entraves, de ses fantasmes.

 

Qu'elle soit fille de, mère de, seule ou accompagnée, qu'elle se projette sur l'avenir ou se penche sur son passé ou encore qu'elle se questionne au présent, elle symbolise la femme de tous les âges et « dans tous ses états »

 


Outre mon goût pour la psychologie, le parti-pris de situer la pièce dans le cabinet d'un thérapeute n'est qu'un prétexte à (se) questionner. A pointer du doigt. A nous confronter sans concessions à nos propres angoisses, en alternant portraits glaçants et rire franc (ou inversement, selon le vécu et le ressenti de chacun) pour nous tirailler entre nos propres pulsions de vie et de mort.

 

Fidèle à mon ton de prédilection, la dérision, je poursuis donc la route, notre route, pour vous parler de vous et de moi.

Avec humour.

Mais aussi et surtout avec compassion.

 

Josiane PINSON

LA NOTE DU METTEUR EN SCENE

Pour être tout à fait honnête, ce n’est ni l’intérêt pour la psychanalyse (dont je ne suis pas féru), ni l’univers féminin (pour moi la femme est un homme comme les autres et vice versa), qui m’ont décidé à travailler sur ce projet.

C’est avant tout l’écriture de Josiane Pinson et sa démarche introspective, faite d’humour, de légèreté, d’intelligence et de vérité qui m’a convaincu. Pour le metteur en scène que je suis, mettre en forme cette polyphonie à trois voix, pour une même actrice, c’est, comme pour un chef d’orchestre, diriger un trio de musique de chambre. Au-delà de faire entendre cette pensée « à ciel ouvert », il faudra donner à voir, et offrir au spectateur une dynamique de jeu d’acteur afin qu’il n’assiste pas uniquement à un monologue. Quoi de plus théâtral que le monde de l’inconscient ? L’Inconscient, cette vaste scène sur laquelle se jouent fantasmes, névroses ou autres pulsions...

Que nous raconte Josiane Pinson, au-delà du défilé des peurs, des douleurs et des errances de son personnage de « ELLE » ? : Elle nous dit, avec le rire du désespoir, « Qu’il y a plusieurs vies dans une vie ». Et, bien que le personnage central soit en train de perdre pied, en prenant conscience du peu de temps qui lui reste pour réaliser ses désirs, ce texte, en forme de madrigal à trois voix, devient alors celui d’une seule voix qui revendique le fait de pouvoir oser encore et encore.

Il n’est donc plus seulement question d’un voyage à travers la psyché féminine, mais bien celui de nos angoisses, de nos attentes et de nos peurs, qui font de la vie humaine, à la fois une histoire personnelle et une histoire universelle. Donner vie et corps, grâce à la scène, à cette éternelle dialectique entre l’unique et l’universel pour que chaque spectateur s’amuse de son propre miroir, tel sera mon but. Le travail de montage s’appuiera donc sur une direction d’acteur précise, un univers sonore inspirant, une scénographie sobre mais éclairante ; sans perdre la veine d’humour noir qui sous-tend ce drôle de PSYcause(s).

Mettre en scène ce texte ce sera alors, avant toute chose, tenter justement de le faire disparaître par la théâtralité qui, comme le disait justement Roland Barthes, est avant tout : « … une épaisseur de signes et de sensations qui s'édifient sur la scène à partir de l'argument écrit ».

Gil Galliot

 

Josiane Pinson

Comédienne et auteure, Josiane Pinson écrit et joue très tôt ses propres spectacles en solo.

 

Férue de psychanalyse et passionnée par la complexité émotionnelle de ses contemporaines, elle s'oriente rapidement vers des thématiques « au féminin », notamment dans « La Quarantaine Rugissante » (mise en scène Jean- Paul MUEL), ou dans « PSYcause(s) » (mise en scène Daniel BERLIOUX) créé au Théâtre du Renard, et repris au Théâtre du Marais puis au Théâtre des Mathurins.

 

Elle aborde une autre vision de la psyché féminine en empruntant « La femme qui frappe » à Victor Haïm (mise en scène Yves PIGNOT), créé au Théâtre Essaïon.

 

Elle adapte pour la scène le best-seller de son maître à penser Benoîte GROULT : « Les Vaisseaux du Coeur » (mise en scène Jean-Luc TARDIEU) qu'elle joue aux côtés de Serge RIABOUKINE au Petit Montparnasse.

 

Son goût pour l'éclectisme la pousse à aborder le théâtre musical avec « Que reste-t-il de l'abat-jour ? » (mise en scène Caroline CLERC) au Théâtre de Dix Heures, sur des textes de Serge Gainsbourg, Ricet Barrier, Francis Blanche ou Bobby Lapointe, et à mettre en scène une autre femme dans « Autopsy de petits crimes innocents » de Gérald GRUHN.

 

Parallèlement, elle tourne pour la télévision avec une vingtaine de réalisateurs, dont Aline ISSERMANN, Claude-Michel ROME, Joyce BUNUEL ou Laurence KATRIAN, et pour le cinéma avec, entre autres, Georges LAUTNER, Vincent GARENQ ou Carlo CONTI.

 

Quand on ne la voit pas, elle prête sa voix à de nombreuses actrices américaines et commente de passionnants documentaires pour ARTE ou La Cinq.

 

Avec « PSYcause(s)2 », elle crée son 7ème « seule en scène».

Gil Galliot

Après une formation au Cours Dullin et parallèlement une

maîtrise à l’Institut d’études théâtrales de la Sorbonne-Nouvelle (Paris III), Gil Galliot entame son parcours de comédien avec la Troupe de l’unité, compagnie avec laquelle il joue dans une dizaine de spectacles classiques et modernes, notamment durant trois saisons dans le spectacle à succès : Shakespeare le défi ! à la Comédie de Paris, au Palais des Glaces puis en tournée (plus de 650 représentations), Ne nous quitte pas ! qu’il écrit et met en scène (Théâtre-Tristant Bernard et Théâtre des Mathurins) ainsi que L’Inspecteur Whaff de Tom Stoppard, mise en scène de Jean-Luc Revol. Tout dernièrement, il joue dans Open Space, mise en scène de Mathilda May, créé au Théâtre du Rond-Point et repris au Théâtre de Paris.

Il mène parallèlement une activité de metteur en scène et d’auteur. Polyvalent, il signe une soixantaine de mises en scène tant dans le théâtre public avec sa compagnie (Molière, Marivaux, Kafka, Slawomir Mrozek, Wolfgang Borchert, George Orwell, Marcel Aymé, Christian Bobin) que dans le théâtre privé avec : Rufus, Bernard Fresson, Alex Métayer, Smaïn, Anne Roumanoff, Éric Métayer, Sophia Aram, Patrick Bosso, Dau et Catella, Pascal Légitimus et Mathilda May (Plus si affinités), Régis Mailhot, Vincent Rocca.

 

Il met en scène également d’autres formes de spectacles : sous chapiteau et à Bercy (Marco Polo, Le Roi Singe avec l’Opéra de Pékin, Le Magicien d’Oz...), du théâtre de rue (Viva II Cinema, Chienne de Vie, Gueules de Bois, Et Dieu créa...la Rue...), du théâtre musical (Capitaine Fracasse, Je m’appelle Erik Satie, Les Bouskidóus), du théâtre chorégraphié (Amériques, Contrepied avec la Cie Black Blanc Beur, La Venta Quemada Flamenco), de l’opéra (La Flûte enchantée de Wolfgang Amadeus Mozart, Carmen de Georges Bizet).

 

Il met en scène le spectacle musical présenté au Sentier des Halles et au festival d’Avignon off 2013 : Les Fils Monkey (spectacle musical pour deux batteurs).

 

Au cinéma, il tient le rôle de Professeur Choron dans le film Coluche – L’Histoire d’un mec (réalisation Antoine de Caunes) et joue à la télévision dans le Livre VI de Kamelott (M6, réalisation Alexandre Astier).

 

Comme auteur, il signe de nombreuses adaptations pour la scène et la télévision. Il est également directeur artistique et directeur d’acteurs sur de nombreux programmes pour TF1, France 2, M6, France 3, Paris-Première, Comédie. Il est co- fondateur de la ligue d’Improvisation Française et membre du Cercle des Menteurs.

Le partenaire

Que serait une psy sans son fauteuil ?

 

Et que serait un patient qui ne peut pas s'allonger ?

 

Aussi esthétique que pratique puisque multipositionnel, Josiane accorde toute sa place à son indispensable partenaire puisqu'elle le fait saluer en fin de représentation.

A qui s'adresse le spectale ?

. A tous les mortels qui aimeraient bien ne pas l'être... (1)

. Aux femmes désireuses de si bien se reconnaître en ce miroir... (1)

. Aux filles de... (1)

. Aux mères de... (1)

. Aux hommes qui aiment les femmes... ou qui souhaitent mieux comprendre la leur ... (1)

. Aux psys et autres professionnels de la santé mentale... (1)

. Aux patients qui se sont assis ou allongés une fois ou dix ans chez un thérapeute... (1)

. Et bien sûr à tous les spectateurs qui ont aimé Psycause(s) !...(1)

 

(1) : si vous ne vous reconnaissez dans aucune catégorie : contactez-nous. Nous ajouterons votre profil à la liste.

LA PRESSE EN BREF

TTT TELERAMA SORTIR : « Dans la mise en scène au cordeau de Gil Galliot, Josiane Pinson avance telle une funambule sur le fil de l'émotion sans jamais tomber dans le pathos ou la caricature. (...) Subtile comédienne, et auteure, Josiane Pinson évite toujours le mot de trop, le geste de trop, faisant de PSYcause(s) 2 un seul en scène à son image : intelligent et classieux. »

 

FRANCE 3 : « Quatre-vingt minutes de spectacle hilarant et/ou émouvant, selon son ressenti, dont vous apprécierez la mise en scène millimétrée signée Gil Galliot. Une comédienne très juste dans les rôles multiples d'une femme, d'une mère, d'une fille et d'une psy qui nous gagne à sa cause. »

 

LE PARISIEN : « Portant un regard tendre et cruel sur la femme dont elle dresse un portrait multiple et humain, la comédienne entonne avec brio un hymne à la vie qui résonnera en chacun. »

 

SANTÉ MENTALE : « Avec brio, une grande vérité, humour et compassion, elle délivre un texte subtil et profond. »

 

DE LA COUR AU JARDIN : « Un périlleux exercice totalement assumé et complètement réussi ! »

 

EUROPE 1 - le coup de coeur de Diane Shenouda (extrait) : « Excellent ! Cru, cruel et drôle. C'est une belle leçon de psychanalyse. D'ailleurs on se demande parfois si l'actrice n'est pas psy elle-même (...). Un seul en scène bourré d'émotion : c'est mille portraits de femmes, chacune avec leur folie...»

 

A NOUS PARIS : «Elle glisse du burlesque visuel à la gravité touchante avec une évidence inouïe. Difficile de ne pas se fondre dans son drôle d'objet théâtral (...). drôle, subtil et fou : on signe sans délai. »

 

CHARLIE HEBDO : «Une partition polyphonique tout en finesse (...). PSYcause(s)2 n'est rien moins qu'une ode à la vie portant haut cette simple conviction que, pour la préserver, il faut continuer à tout bousculer et, avec passion, "niquer la mort" au plus pur sens sexuel du terme. »

 

LE MONDE.FR : « Du fauteuil au divan, psy et patientes se croisent et se répondent dans une mise en scène fluide et efficace. (...) Josiane Pinson explore avec brio la psyché féminine avec classe et ce qu'il faut d'humour noir. »

 

L'HUMANITE DIMANCHE : « Le portrait pluriel d'une femme contemporaine. Du haut de gamme. »

 

LA TERRASSE : «Josiane Pinson ausculte ses contemporains avec toujours autant de pudeur, mais dévoile les failles de son personnage avec une sincérité encore plus sereine. (...) sur la pointe des mots, sur la pointe du rire, elle va au fond des âmes et vise en plein cœur. »

 

CAUSETTE : «Contradictions, peurs ou fantasmes sont observés à la loupe... Toujours avec tendresse. »

 

FIGAROSCOPE : «Miss Pinson est fine et d'une certaine façon,fait oeuvre utile.»

 

LA THEÂTROTHÈQUE : «L'humour est omniprésent... Une parenthèse drôle, psychologique et philosophique sur la femme. »

 

LA PROVENCE : « Un véritable régal ! Une merveilleuse et divine comédienne. »

 

PUBLIK'ART : «Josiane Pinson, portée par son écriture acérée, mâtinée d'humour noir, excelle en psychanalyste posée, très professionnelle, et au bord de la crise existentielle. »

 

FROGGY'S DELIGHT : «PSYcause(s) 2, en plus d'être une pièce où on rit beaucoup, renvoie le spectateur à ses propres interrogations sur la vie. C'est profond sans pathos, drôle sans facilités, intelligent sans être hermétique. »

 

SNES : «L'interprétation est remarquable de finesse (...) avec des formules qui trottent longtemps dans nos têtes emplies d'un humour aigre doux qui titille notre émotion. Elle est superbe. »

 

LE CORYPHEE : «Disons-le d'emblée, Josiane Pinson est formidable ! (...) PSYcause(s) 2 est encore plus puissant que le premier (c'est rare pour les suites !) parce qu'il vise directement au cœur en passant par le cérébral. »

 

REG'ARTS : «Très charismatique et toujours bienveillante, Josiane Pinson jongle intelligemment avec les réflexions existentielles. »

 

CULTUREBOX : «La thérapie de choc de Josiane Pinson décortique la complexité d'être femme. »

 

SPECTACLES SELECTION : «Parce que chacun peut y trouver les ressorts très intimes de ses désarrois cachés, on rit beaucoup et avec grande tendresse. »

 

SORTIES-A-PARIS : «Un passionnant moment de théâtre. »

 

FRANCE CATHOLIQUE : «Même quand on devine où elle va nous emmener, on se dit "non, elle ne va pas oser", mais si, en nous ravissant autant qu'elle nous surprend. »

 

LES ARTS ET DES MOTS : «Une écriture et une interprétation remarquables; une distance faite de vérité et de fantaisie. »

 

CLIC'INFO : «Une psychothérapie d'excellence (...) Un spectacle lumineux, drôle et pertinent. »

 

L'ONDE BLEUE : «Une écriture ciselée et à tiroirs où chacun peut s'identifier à travers le prisme de la psyche féminine. »

 

LEXTIMES : «Gil Galliot dit avoir été convaincu de la mettre en scène "pour sa démarche introspective fait d'humour, de légèreté, d'intelligence et de vérité" : on ne saurait mieux dire. »

 

WHAT'S UP DOC ? : «La relation soignant/patient dans toute sa beauté mais aussi ses écueils disséquée et plongée dans un grand bain d'acide. »

Revue de Presse

La bande-annonce

PSYcause(s)2 sur France3 Picardie

PSYcause(s)2 sur RFI

PSYcause(s) 2 sur Europe 1 Midi

Les réactions du public

PSYcause(s) 2 en photos

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